
Mise en scène | Damiano Michieletto |
Chef d'Orchestre | Antonio Pappano |
Décors | Paolo Fantin |
Costumes | Carla Teti |
Eclairage | Alessandro Carletti |
Cavalleria Rusticana | |
Compositeur | Pietro Mascagni |
Librettiste | Giovanni Targioni-Tozzetti |
Librettiste | Guido Menasci |
Santuzza | Eva-Maria Westbroek |
Turiddu | Aleksandrs Antonenko |
Mamma Lucia | Elena Zilio |
Pagliacci | |
Compositeur | Ruggero Leoncavallo |
Librettiste | Ruggero Leoncavallo |
Canio | Aleksandrs Antonenko |
Tonio | Dimitri Platanias |
Nedda | Carmen Giannattasio |
Chanté en italien avec sous-titres français |
Cavalleria Rusticana
C'est le matin de Pâques dans un village sicilien. Une jeune fille triste et inquiète, Santuzza, est à la recherche de son amant Turridu qui l'a trahie pour renouer avec Lola son ancienne fiancée. Santuzza essaie vainement de reconquérir son amant. Folle de jalousie, elle dénonce Turridu à Alfio, le mari de Lola. Dès lors, le destin de Turridu est scellé. Alfio le provoque en duel. Après avoir fait ses adieux à sa mère, Turridu se rend au rendez-vous fatal.
Pagliacci
Dans un village de Calabre, un après-midi de 15 août. Selon Leoncavallo lui-même, l'histoire serait inspirée d'un fait divers : au cours d'une représentation donnée dans un village de Calabre par une troupe de théâtre ambulant, le comédien Canio, mélangeant l'action de la pièce et la vie réelle, tue sa femme Nedda et l'amant de celle-ci, sous les applaudissements des spectateurs qui ne comprennent que trop tard le télescopage entre le jeu et la réalité.